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En ce début de 2024, la Banque du Canada maintient son taux de référence à un jour à 5,0 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a justifié sa décision de maintenir son taux de référence à un jour à 5,0 % par les risques d’une inflation persistante. 
Nous résumons ci-après les observations de la Banque, y compris ses commentaires prospectifs concernant l’économie, l’inflation et les taux d’intérêt. 

Inflation au Canada

  • L’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) s’est établie à 3,4 % à la fin de 2023, et la Banque s’attend à ce que l’inflation demeure près de 3 % dans la première moitié de 2024, « puis à ce qu’elle diminue progressivement » pour atterrir à la cible de 2 % en 2025
  • Les frais de logement demeurent « le facteur contribuant le plus au fait qu’elle dépasse la cible »  
  • Bien que la Banque affirme que le ralentissement de la demande réduit les pressions sur les prix d’un nombre accru de composantes de l’IPC et que les pratiques d’établissement des prix des entreprises continuent de se normaliser, les mesures de l’inflation fondamentale ne montrent pas de signes d’une baisse durable.

Économie canadienne : rendement et perspectives

  • La Banque note que l’économie canadienne « stagne » depuis la mi-2023, et la croissance va probablement demeurer près de zéro au premier trimestre de 2024
  • Les consommateurs ont réduit leurs dépenses en réaction aux hausses de prix et de taux d’intérêt, et les investissements des entreprises se sont contractés
  • Compte tenu de la faible croissance, l’offre a rattrapé la demande et semble maintenant légèrement excédentaire
  • Les conditions du marché du travail se sont assouplies : les postes vacants se rapprochent de leurs niveaux prépandémiques et la création d’emplois est plus lente que l’expansion démographique. Cela dit, l’augmentation des salaires demeure autour de 4 % à 5 %

Économie mondiale : rendement et perspectives

  • L’expansion économique mondiale continue de ralentir et l’inflation recule « graduellement » dans la plupart des économies
  • Aux États-Unis, la croissance a été plus forte qu’anticipé, mais devrait ralentir en 2024, sous l’effet de l’affaiblissement des dépenses de consommation et des investissements des entreprises 
  • Dans la zone euro, l’économie semble se contracter légèrement
  • En Chine, la faible confiance des consommateurs et l’incertitude entourant les politiques publiques vont vraisemblablement restreindre l’activité 
  • En parallèle, le baril de pétrole est environ 10 dollars sous le niveau supposé dans le Rapport sur la politique monétaire d’octobre
  • Les conditions financières se sont assouplies, neutralisant en grande partie le resserrement de l’automne dernier
  • La Banque prévoit maintenant que ce taux s’établira à 2,5 % en 2024 et à 2,75 % en 2025, par rapport à 3 % en 2023
  • Sous l’effet d’une modération de la croissance, les taux d’inflation dans la plupart des économies avancées devraient reculer lentement, pour atteindre les cibles des banques centrales en 2025

Perspectives

La Banque s’attend à ce que la croissance économique reprenne progressivement « vers le milieu de 2024 ». En outre, les dépenses des ménages devraient « se raffermir », tandis que les exportations et les investissements des entreprises devraient bénéficier de la relance de la demande étrangère. 

La Banque suggère aussi que les « dépenses publiques » devraient contribuer « de façon importante » à la croissance économique au Canada tout au long de l’année. Au bout du compte, la Banque prévoit une croissance du PIB de 0,8 % en 2024 et de 2,4 % en 2025, ce qui s’éloigne peu de sa projection d’octobre.

Compte tenu de l’ensemble de ces facteurs et de ces perspectives, le Conseil de direction a décidé de maintenir le taux directeur à 5 % et de continuer à « normaliser » le bilan de la Banque. 

Dans son communiqué, la Banque poursuit en soulignant que le Conseil de direction « demeure préoccupé par les risques entourant les perspectives d’inflation, surtout la persistance de la forte inflation sous-jacente » et veut voir « l’inflation fondamentale continuer de baisser, et ce, de façon durable ». La Banque a aussi affirmé qu’elle surveille encore de près l’équilibre entre l’offre et la demande, les attentes d’inflation, la croissance des salaires et les pratiques d’établissement des prix des entreprises. 

Comme elle l’a répété constamment au cours de la dernière année, la Banque reste « déterminée à rétablir la stabilité des prix pour la population canadienne ».

Bien que la Banque ne l’ait pas affirmé comme tel, il en demeure néanmoins que les Canadiens devront attendre et voir ce qui se passera.

Prochaine annonce

C’est le 6 mars prochain que la Banque fera sa prochaine annonce concernant les taux d’intérêt.  First National vous donnera accès à un résumé immédiatement après l’annonce. D’ici là, pour d’autres renseignements concernant les marchés de capitaux, veuillez consulter la page Ressources de notre site Web.


En ce début de 2024, la Banque du Canada maintient son taux de référence à un jour à 5,0 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a justifié sa décision de maintenir son taux de référence à un jour à 5,0 % par les risques d’une inflation persistante. 
Nous résumons ci-après les observations de la Banque, y compris ses commentaires prospectifs concernant l’économie, l’inflation et les taux d’intérêt. 

Inflation au Canada

  • L’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) s’est établie à 3,4 % à la fin de 2023, et la Banque s’attend à ce que l’inflation demeure près de 3 % dans la première moitié de 2024, « puis à ce qu’elle diminue progressivement » pour atterrir à la cible de 2 % en 2025
  • Les frais de logement demeurent « le facteur contribuant le plus au fait qu’elle dépasse la cible »  
  • Bien que la Banque affirme que le ralentissement de la demande réduit les pressions sur les prix d’un nombre accru de composantes de l’IPC et que les pratiques d’établissement des prix des entreprises continuent de se normaliser, les mesures de l’inflation fondamentale ne montrent pas de signes d’une baisse durable.

Économie canadienne : rendement et perspectives

  • La Banque note que l’économie canadienne « stagne » depuis la mi-2023, et la croissance va probablement demeurer près de zéro au premier trimestre de 2024
  • Les consommateurs ont réduit leurs dépenses en réaction aux hausses de prix et de taux d’intérêt, et les investissements des entreprises se sont contractés
  • Compte tenu de la faible croissance, l’offre a rattrapé la demande et semble maintenant légèrement excédentaire
  • Les conditions du marché du travail se sont assouplies : les postes vacants se rapprochent de leurs niveaux prépandémiques et la création d’emplois est plus lente que l’expansion démographique. Cela dit, l’augmentation des salaires demeure autour de 4 % à 5 %

Économie mondiale : rendement et perspectives

  • L’expansion économique mondiale continue de ralentir et l’inflation recule « graduellement » dans la plupart des économies
  • Aux États-Unis, la croissance a été plus forte qu’anticipé, mais devrait ralentir en 2024, sous l’effet de l’affaiblissement des dépenses de consommation et des investissements des entreprises 
  • Dans la zone euro, l’économie semble se contracter légèrement
  • En Chine, la faible confiance des consommateurs et l’incertitude entourant les politiques publiques vont vraisemblablement restreindre l’activité 
  • En parallèle, le baril de pétrole est environ 10 dollars sous le niveau supposé dans le Rapport sur la politique monétaire d’octobre
  • Les conditions financières se sont assouplies, neutralisant en grande partie le resserrement de l’automne dernier
  • La Banque prévoit maintenant que ce taux s’établira à 2,5 % en 2024 et à 2,75 % en 2025, par rapport à 3 % en 2023
  • Sous l’effet d’une modération de la croissance, les taux d’inflation dans la plupart des économies avancées devraient reculer lentement, pour atteindre les cibles des banques centrales en 2025

Perspectives

La Banque s’attend à ce que la croissance économique reprenne progressivement « vers le milieu de 2024 ». En outre, les dépenses des ménages devraient « se raffermir », tandis que les exportations et les investissements des entreprises devraient bénéficier de la relance de la demande étrangère. 

La Banque suggère aussi que les « dépenses publiques » devraient contribuer « de façon importante » à la croissance économique au Canada tout au long de l’année. Au bout du compte, la Banque prévoit une croissance du PIB de 0,8 % en 2024 et de 2,4 % en 2025, ce qui s’éloigne peu de sa projection d’octobre.

Compte tenu de l’ensemble de ces facteurs et de ces perspectives, le Conseil de direction a décidé de maintenir le taux directeur à 5 % et de continuer à « normaliser » le bilan de la Banque. 

Dans son communiqué, la Banque poursuit en soulignant que le Conseil de direction « demeure préoccupé par les risques entourant les perspectives d’inflation, surtout la persistance de la forte inflation sous-jacente » et veut voir « l’inflation fondamentale continuer de baisser, et ce, de façon durable ». La Banque a aussi affirmé qu’elle surveille encore de près l’équilibre entre l’offre et la demande, les attentes d’inflation, la croissance des salaires et les pratiques d’établissement des prix des entreprises. 

Comme elle l’a répété constamment au cours de la dernière année, la Banque reste « déterminée à rétablir la stabilité des prix pour la population canadienne ».

Bien que la Banque ne l’ait pas affirmé comme tel, il en demeure néanmoins que les Canadiens devront attendre et voir ce qui se passera.

Prochaine annonce

C’est le 6 mars prochain que la Banque fera sa prochaine annonce concernant les taux d’intérêt.  First National vous donnera accès à un résumé immédiatement après l’annonce. D’ici là, pour d’autres renseignements concernant les marchés de capitaux, veuillez consulter la page Ressources de notre site Web.


En ce début de 2024, la Banque du Canada maintient son taux de référence à un jour à 5,0 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a justifié sa décision de maintenir son taux de référence à un jour à 5,0 % par les risques d’une inflation persistante. 
Nous résumons ci-après les observations de la Banque, y compris ses commentaires prospectifs concernant l’économie, l’inflation et les taux d’intérêt. 

Inflation au Canada

  • L’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) s’est établie à 3,4 % à la fin de 2023, et la Banque s’attend à ce que l’inflation demeure près de 3 % dans la première moitié de 2024, « puis à ce qu’elle diminue progressivement » pour atterrir à la cible de 2 % en 2025
  • Les frais de logement demeurent « le facteur contribuant le plus au fait qu’elle dépasse la cible »  
  • Bien que la Banque affirme que le ralentissement de la demande réduit les pressions sur les prix d’un nombre accru de composantes de l’IPC et que les pratiques d’établissement des prix des entreprises continuent de se normaliser, les mesures de l’inflation fondamentale ne montrent pas de signes d’une baisse durable.

Économie canadienne : rendement et perspectives

  • La Banque note que l’économie canadienne « stagne » depuis la mi-2023, et la croissance va probablement demeurer près de zéro au premier trimestre de 2024
  • Les consommateurs ont réduit leurs dépenses en réaction aux hausses de prix et de taux d’intérêt, et les investissements des entreprises se sont contractés
  • Compte tenu de la faible croissance, l’offre a rattrapé la demande et semble maintenant légèrement excédentaire
  • Les conditions du marché du travail se sont assouplies : les postes vacants se rapprochent de leurs niveaux prépandémiques et la création d’emplois est plus lente que l’expansion démographique. Cela dit, l’augmentation des salaires demeure autour de 4 % à 5 %

Économie mondiale : rendement et perspectives

  • L’expansion économique mondiale continue de ralentir et l’inflation recule « graduellement » dans la plupart des économies
  • Aux États-Unis, la croissance a été plus forte qu’anticipé, mais devrait ralentir en 2024, sous l’effet de l’affaiblissement des dépenses de consommation et des investissements des entreprises 
  • Dans la zone euro, l’économie semble se contracter légèrement
  • En Chine, la faible confiance des consommateurs et l’incertitude entourant les politiques publiques vont vraisemblablement restreindre l’activité 
  • En parallèle, le baril de pétrole est environ 10 dollars sous le niveau supposé dans le Rapport sur la politique monétaire d’octobre
  • Les conditions financières se sont assouplies, neutralisant en grande partie le resserrement de l’automne dernier
  • La Banque prévoit maintenant que ce taux s’établira à 2,5 % en 2024 et à 2,75 % en 2025, par rapport à 3 % en 2023
  • Sous l’effet d’une modération de la croissance, les taux d’inflation dans la plupart des économies avancées devraient reculer lentement, pour atteindre les cibles des banques centrales en 2025

Perspectives

La Banque s’attend à ce que la croissance économique reprenne progressivement « vers le milieu de 2024 ». En outre, les dépenses des ménages devraient « se raffermir », tandis que les exportations et les investissements des entreprises devraient bénéficier de la relance de la demande étrangère. 

La Banque suggère aussi que les « dépenses publiques » devraient contribuer « de façon importante » à la croissance économique au Canada tout au long de l’année. Au bout du compte, la Banque prévoit une croissance du PIB de 0,8 % en 2024 et de 2,4 % en 2025, ce qui s’éloigne peu de sa projection d’octobre.

Compte tenu de l’ensemble de ces facteurs et de ces perspectives, le Conseil de direction a décidé de maintenir le taux directeur à 5 % et de continuer à « normaliser » le bilan de la Banque. 

Dans son communiqué, la Banque poursuit en soulignant que le Conseil de direction « demeure préoccupé par les risques entourant les perspectives d’inflation, surtout la persistance de la forte inflation sous-jacente » et veut voir « l’inflation fondamentale continuer de baisser, et ce, de façon durable ». La Banque a aussi affirmé qu’elle surveille encore de près l’équilibre entre l’offre et la demande, les attentes d’inflation, la croissance des salaires et les pratiques d’établissement des prix des entreprises. 

Comme elle l’a répété constamment au cours de la dernière année, la Banque reste « déterminée à rétablir la stabilité des prix pour la population canadienne ».

Bien que la Banque ne l’ait pas affirmé comme tel, il en demeure néanmoins que les Canadiens devront attendre et voir ce qui se passera.

Prochaine annonce

C’est le 6 mars prochain que la Banque fera sa prochaine annonce concernant les taux d’intérêt.  First National vous donnera accès à un résumé immédiatement après l’annonce. D’ici là, pour d’autres renseignements concernant les marchés de capitaux, veuillez consulter la page Ressources de notre site Web.


En ce début de 2024, la Banque du Canada maintient son taux de référence à un jour à 5,0 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a justifié sa décision de maintenir son taux de référence à un jour à 5,0 % par les risques d’une inflation persistante. 
Nous résumons ci-après les observations de la Banque, y compris ses commentaires prospectifs concernant l’économie, l’inflation et les taux d’intérêt. 

Inflation au Canada

  • L’inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) s’est établie à 3,4 % à la fin de 2023, et la Banque s’attend à ce que l’inflation demeure près de 3 % dans la première moitié de 2024, « puis à ce qu’elle diminue progressivement » pour atterrir à la cible de 2 % en 2025
  • Les frais de logement demeurent « le facteur contribuant le plus au fait qu’elle dépasse la cible »  
  • Bien que la Banque affirme que le ralentissement de la demande réduit les pressions sur les prix d’un nombre accru de composantes de l’IPC et que les pratiques d’établissement des prix des entreprises continuent de se normaliser, les mesures de l’inflation fondamentale ne montrent pas de signes d’une baisse durable.

Économie canadienne : rendement et perspectives

  • La Banque note que l’économie canadienne « stagne » depuis la mi-2023, et la croissance va probablement demeurer près de zéro au premier trimestre de 2024
  • Les consommateurs ont réduit leurs dépenses en réaction aux hausses de prix et de taux d’intérêt, et les investissements des entreprises se sont contractés
  • Compte tenu de la faible croissance, l’offre a rattrapé la demande et semble maintenant légèrement excédentaire
  • Les conditions du marché du travail se sont assouplies : les postes vacants se rapprochent de leurs niveaux prépandémiques et la création d’emplois est plus lente que l’expansion démographique. Cela dit, l’augmentation des salaires demeure autour de 4 % à 5 %

Économie mondiale : rendement et perspectives

  • L’expansion économique mondiale continue de ralentir et l’inflation recule « graduellement » dans la plupart des économies
  • Aux États-Unis, la croissance a été plus forte qu’anticipé, mais devrait ralentir en 2024, sous l’effet de l’affaiblissement des dépenses de consommation et des investissements des entreprises 
  • Dans la zone euro, l’économie semble se contracter légèrement
  • En Chine, la faible confiance des consommateurs et l’incertitude entourant les politiques publiques vont vraisemblablement restreindre l’activité 
  • En parallèle, le baril de pétrole est environ 10 dollars sous le niveau supposé dans le Rapport sur la politique monétaire d’octobre
  • Les conditions financières se sont assouplies, neutralisant en grande partie le resserrement de l’automne dernier
  • La Banque prévoit maintenant que ce taux s’établira à 2,5 % en 2024 et à 2,75 % en 2025, par rapport à 3 % en 2023
  • Sous l’effet d’une modération de la croissance, les taux d’inflation dans la plupart des économies avancées devraient reculer lentement, pour atteindre les cibles des banques centrales en 2025

Perspectives

La Banque s’attend à ce que la croissance économique reprenne progressivement « vers le milieu de 2024 ». En outre, les dépenses des ménages devraient « se raffermir », tandis que les exportations et les investissements des entreprises devraient bénéficier de la relance de la demande étrangère. 

La Banque suggère aussi que les « dépenses publiques » devraient contribuer « de façon importante » à la croissance économique au Canada tout au long de l’année. Au bout du compte, la Banque prévoit une croissance du PIB de 0,8 % en 2024 et de 2,4 % en 2025, ce qui s’éloigne peu de sa projection d’octobre.

Compte tenu de l’ensemble de ces facteurs et de ces perspectives, le Conseil de direction a décidé de maintenir le taux directeur à 5 % et de continuer à « normaliser » le bilan de la Banque. 

Dans son communiqué, la Banque poursuit en soulignant que le Conseil de direction « demeure préoccupé par les risques entourant les perspectives d’inflation, surtout la persistance de la forte inflation sous-jacente » et veut voir « l’inflation fondamentale continuer de baisser, et ce, de façon durable ». La Banque a aussi affirmé qu’elle surveille encore de près l’équilibre entre l’offre et la demande, les attentes d’inflation, la croissance des salaires et les pratiques d’établissement des prix des entreprises. 

Comme elle l’a répété constamment au cours de la dernière année, la Banque reste « déterminée à rétablir la stabilité des prix pour la population canadienne ».

Bien que la Banque ne l’ait pas affirmé comme tel, il en demeure néanmoins que les Canadiens devront attendre et voir ce qui se passera.

Prochaine annonce

C’est le 6 mars prochain que la Banque fera sa prochaine annonce concernant les taux d’intérêt.  First National vous donnera accès à un résumé immédiatement après l’annonce. D’ici là, pour d’autres renseignements concernant les marchés de capitaux, veuillez consulter la page Ressources de notre site Web.


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