Financière First National SEC

Prêter mieux pour vous

Mieux est un mot puissant. Pour notre équipe primée de prêts hypothécaires commerciaux, cela signifie se surpasser, aller au-delà de l’ordinaire pour écouter, conseiller et fournir des solutions de financement qui conviennent mieux à votre entreprise. De meilleures caractéristiques, de meilleures conditions, une meilleure planification, un meilleur service. C’est mieux pour vous à tous points de vue.

Mise à jour sur les marchés commerciaux

Lorsque les rendements obligataires varient, vous devez le savoir. Faites-vous livrer quotidiennement les plus récentes données sur les taux d'intérêt directement dans votre boîte de courriel.

Inscrivez-vous maintenant

Financements récents

Forts de notre expertise avec la SCHL, de notre vaste portefeuille de produits, de nos divers experts et de notre réactivité, nous avons réalisé un véritable travail de pionnier en finançant de nouvelles constructions à visée tant locative que générale ainsi que des entreprises immobilières en plein essor. 

Prenez financements récents ici

Apprenez à mieux nous connaître

First National aborde chaque situation à partir de la perspective de la personne qu’elle sert. Nous ne sommes pas de simples prêteurs. Nous sommes passionnés par le secteur de l’immobilier commercial et par nos clients, ceux-là même qui l’alimentent.

À la rencontre de notre équipe commerciale

Ressources et connaissances nouvelles

Bénéficiez des observations et des perspectives d’experts pour éclairer et orienter vos décisions en matière d’immobilier commercial.

Commentaire sur le marché : Des taux qui demeurent élevés plus longtemps… encore une fois

  • First National Financial LP
Les taux sont en mouvement. Le rendement des obligations du gouvernement du Canada de 5 ans se situe à 3,40 %, soit une augmentation de près de 50 points de base au cours des deux dernières semaines, après avoir fluctué autour de 3,00 % pendant deux mois. À la mi-mars, le marché prévoyait que la Banque du Canada abaisserait son taux d’intérêt cible de 75 à 100 points de base avant la fin de l’année. Aujourd’hui, une augmentation de 25 points de base semble plus probable. Que s’est-il donc passé?
 
Depuis mon dernier commentaire, les inquiétudes entourant le secteur des banques régionales américaines se sont apaisées, puis ont repris de plus belle, pour finalement s’atténuer de nouveau. Même si la situation n’est pas réglée, certaines préoccupations demeurent en arrière-plan. Les craintes de contagion et les inquiétudes de stabilité financière ont lentement laissé place à des discussions sur l’incidence du resserrement des conditions de crédit sur l’économie. Dans ce contexte, la persistance de l’inflation est revenue au premier plan des préoccupations.  
 
L’an dernier, la Banque du Canada a brusquement haussé les taux d’intérêt et constaté une amélioration soutenue du taux d’inflation. Malheureusement, les données publiées la semaine dernière montrent une légère accélération du taux d’inflation. Le coût de la vie s’établit en effet à 4,4 % sur 12 mois, contre 4,3 % un mois plus tôt. Ce n’est pas une différence majeure et elle ne devrait pas inciter la Banque du Canada à changer de stratégie, mais il s’agit néanmoins d’un pas dans la mauvaise direction. 
 
Aux États-Unis, des intervenants de la Réserve fédérale ont récemment souligné qu’il restait du travail à faire pour éviter que l’inflation s’installe de manière durable. 
 
Donc, les taux demeureront-ils élevés plus longtemps? Peut-être, mais il est difficile de prédire quand et où des taux plus élevés et des conditions de crédit plus rigoureuses causeront des tensions importantes. La semaine dernière, la Banque du Canada a publié sa Revue du système financier annuelle, dans laquelle elle a indiqué que l’endettement des ménages, en particulier les prêts hypothécaires, constituait une source de préoccupation. Si une nouvelle crise devait survenir, les questions de réorientation et de baisse des taux d’intérêt pourraient vite refaire surface. Et comme si ce n’était pas assez, n’oublions pas le plafond d’endettement des États-Unis…
 
Comme toujours, votre conseiller First National est prêt à vous aider et à évaluer les options qui s’offrent à vous.
 
 

Commentaire sur le marché : Des taux qui demeurent élevés plus longtemps… encore une fois

  • First National Financial LP
Les taux sont en mouvement. Le rendement des obligations du gouvernement du Canada de 5 ans se situe à 3,40 %, soit une augmentation de près de 50 points de base au cours des deux dernières semaines, après avoir fluctué autour de 3,00 % pendant deux mois. À la mi-mars, le marché prévoyait que la Banque du Canada abaisserait son taux d’intérêt cible de 75 à 100 points de base avant la fin de l’année. Aujourd’hui, une augmentation de 25 points de base semble plus probable. Que s’est-il donc passé?
 
Depuis mon dernier commentaire, les inquiétudes entourant le secteur des banques régionales américaines se sont apaisées, puis ont repris de plus belle, pour finalement s’atténuer de nouveau. Même si la situation n’est pas réglée, certaines préoccupations demeurent en arrière-plan. Les craintes de contagion et les inquiétudes de stabilité financière ont lentement laissé place à des discussions sur l’incidence du resserrement des conditions de crédit sur l’économie. Dans ce contexte, la persistance de l’inflation est revenue au premier plan des préoccupations.  
 
L’an dernier, la Banque du Canada a brusquement haussé les taux d’intérêt et constaté une amélioration soutenue du taux d’inflation. Malheureusement, les données publiées la semaine dernière montrent une légère accélération du taux d’inflation. Le coût de la vie s’établit en effet à 4,4 % sur 12 mois, contre 4,3 % un mois plus tôt. Ce n’est pas une différence majeure et elle ne devrait pas inciter la Banque du Canada à changer de stratégie, mais il s’agit néanmoins d’un pas dans la mauvaise direction. 
 
Aux États-Unis, des intervenants de la Réserve fédérale ont récemment souligné qu’il restait du travail à faire pour éviter que l’inflation s’installe de manière durable. 
 
Donc, les taux demeureront-ils élevés plus longtemps? Peut-être, mais il est difficile de prédire quand et où des taux plus élevés et des conditions de crédit plus rigoureuses causeront des tensions importantes. La semaine dernière, la Banque du Canada a publié sa Revue du système financier annuelle, dans laquelle elle a indiqué que l’endettement des ménages, en particulier les prêts hypothécaires, constituait une source de préoccupation. Si une nouvelle crise devait survenir, les questions de réorientation et de baisse des taux d’intérêt pourraient vite refaire surface. Et comme si ce n’était pas assez, n’oublions pas le plafond d’endettement des États-Unis…
 
Comme toujours, votre conseiller First National est prêt à vous aider et à évaluer les options qui s’offrent à vous.
 
 

Commentaire sur le marché : Des taux qui demeurent élevés plus longtemps… encore une fois

  • First National Financial LP
Les taux sont en mouvement. Le rendement des obligations du gouvernement du Canada de 5 ans se situe à 3,40 %, soit une augmentation de près de 50 points de base au cours des deux dernières semaines, après avoir fluctué autour de 3,00 % pendant deux mois. À la mi-mars, le marché prévoyait que la Banque du Canada abaisserait son taux d’intérêt cible de 75 à 100 points de base avant la fin de l’année. Aujourd’hui, une augmentation de 25 points de base semble plus probable. Que s’est-il donc passé?
 
Depuis mon dernier commentaire, les inquiétudes entourant le secteur des banques régionales américaines se sont apaisées, puis ont repris de plus belle, pour finalement s’atténuer de nouveau. Même si la situation n’est pas réglée, certaines préoccupations demeurent en arrière-plan. Les craintes de contagion et les inquiétudes de stabilité financière ont lentement laissé place à des discussions sur l’incidence du resserrement des conditions de crédit sur l’économie. Dans ce contexte, la persistance de l’inflation est revenue au premier plan des préoccupations.  
 
L’an dernier, la Banque du Canada a brusquement haussé les taux d’intérêt et constaté une amélioration soutenue du taux d’inflation. Malheureusement, les données publiées la semaine dernière montrent une légère accélération du taux d’inflation. Le coût de la vie s’établit en effet à 4,4 % sur 12 mois, contre 4,3 % un mois plus tôt. Ce n’est pas une différence majeure et elle ne devrait pas inciter la Banque du Canada à changer de stratégie, mais il s’agit néanmoins d’un pas dans la mauvaise direction. 
 
Aux États-Unis, des intervenants de la Réserve fédérale ont récemment souligné qu’il restait du travail à faire pour éviter que l’inflation s’installe de manière durable. 
 
Donc, les taux demeureront-ils élevés plus longtemps? Peut-être, mais il est difficile de prédire quand et où des taux plus élevés et des conditions de crédit plus rigoureuses causeront des tensions importantes. La semaine dernière, la Banque du Canada a publié sa Revue du système financier annuelle, dans laquelle elle a indiqué que l’endettement des ménages, en particulier les prêts hypothécaires, constituait une source de préoccupation. Si une nouvelle crise devait survenir, les questions de réorientation et de baisse des taux d’intérêt pourraient vite refaire surface. Et comme si ce n’était pas assez, n’oublions pas le plafond d’endettement des États-Unis…
 
Comme toujours, votre conseiller First National est prêt à vous aider et à évaluer les options qui s’offrent à vous.
 
 

Commentaire sur le marché : Des taux qui demeurent élevés plus longtemps… encore une fois

  • First National Financial LP
Les taux sont en mouvement. Le rendement des obligations du gouvernement du Canada de 5 ans se situe à 3,40 %, soit une augmentation de près de 50 points de base au cours des deux dernières semaines, après avoir fluctué autour de 3,00 % pendant deux mois. À la mi-mars, le marché prévoyait que la Banque du Canada abaisserait son taux d’intérêt cible de 75 à 100 points de base avant la fin de l’année. Aujourd’hui, une augmentation de 25 points de base semble plus probable. Que s’est-il donc passé?
 
Depuis mon dernier commentaire, les inquiétudes entourant le secteur des banques régionales américaines se sont apaisées, puis ont repris de plus belle, pour finalement s’atténuer de nouveau. Même si la situation n’est pas réglée, certaines préoccupations demeurent en arrière-plan. Les craintes de contagion et les inquiétudes de stabilité financière ont lentement laissé place à des discussions sur l’incidence du resserrement des conditions de crédit sur l’économie. Dans ce contexte, la persistance de l’inflation est revenue au premier plan des préoccupations.  
 
L’an dernier, la Banque du Canada a brusquement haussé les taux d’intérêt et constaté une amélioration soutenue du taux d’inflation. Malheureusement, les données publiées la semaine dernière montrent une légère accélération du taux d’inflation. Le coût de la vie s’établit en effet à 4,4 % sur 12 mois, contre 4,3 % un mois plus tôt. Ce n’est pas une différence majeure et elle ne devrait pas inciter la Banque du Canada à changer de stratégie, mais il s’agit néanmoins d’un pas dans la mauvaise direction. 
 
Aux États-Unis, des intervenants de la Réserve fédérale ont récemment souligné qu’il restait du travail à faire pour éviter que l’inflation s’installe de manière durable. 
 
Donc, les taux demeureront-ils élevés plus longtemps? Peut-être, mais il est difficile de prédire quand et où des taux plus élevés et des conditions de crédit plus rigoureuses causeront des tensions importantes. La semaine dernière, la Banque du Canada a publié sa Revue du système financier annuelle, dans laquelle elle a indiqué que l’endettement des ménages, en particulier les prêts hypothécaires, constituait une source de préoccupation. Si une nouvelle crise devait survenir, les questions de réorientation et de baisse des taux d’intérêt pourraient vite refaire surface. Et comme si ce n’était pas assez, n’oublions pas le plafond d’endettement des États-Unis…
 
Comme toujours, votre conseiller First National est prêt à vous aider et à évaluer les options qui s’offrent à vous.
 
 

Pourquoi nos clients nous choisissent et nous recommandent

De la sophistication de notre culture d’entreprise à la façon dont nous nous engageons avec nos clients et livrons pour eux, nous avons gagné la confiance et les recommandations de nos clients emprunteurs.Apprenez-en plus

geen-building

Solutions hypothécaires

La synergie de notre structure et de notre culture permet aux conseillers d’innover de manière ciblée et de mettre en œuvre de manière décisive des solutions intelligentes en matière de risques qui vous permettront d’atteindre vos objectifs.