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La Banque du Canada relève son taux d’intérêt de référence à 1,50 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a montré une fois de plus qu’elle se préoccupe sérieusement de l’inflation en portant son taux de référence à un jour à 1,50 %. Cette augmentation de 50 points de base fait suite à une autre augmentation semblable en avril, ce qui en fait le cycle de hausse des taux le plus rapide depuis deux décennies.

La Banque rapproche donc son taux directeur de sa valeur prépandémique. Par conséquent, le taux d’escompte s’établit à 1,75 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1,50 %. La Banque poursuit également sa politique de resserrement quantitatif et indique que de nouvelles hausses de taux sont à prévoir.

Pour justifier sa troisième augmentation de 2022, la Banque a cité plusieurs facteurs, notamment le fait que « le risque que l’inflation élevée s’enracine s’est accru ». En conséquence, la Banque utilisera ses outils de politique monétaire pour ramener l’inflation à la cible et garder les attentes d’inflation bien ancrées.

Voici les points saillants de l’annonce faite aujourd’hui.

L’inflation au pays et à l’étranger 

  • Principalement en raison de la hausse du prix des aliments et de l’énergie, la Banque a constaté que l’inflation mesurée par l’IPC a atteint 6,8 % en avril, ce qui dépasse de loin ses prévisions, et « devrait encore monter à court terme avant de commencer à diminuer ».
  • Alors que les pressions généralisées sur les prix des intrants se répercutent sur les prix à la consommation, l’inflation continue de s’étendre : les mesures de l’inflation fondamentale se situent entre 3,2 % et 5,1 %.
  • Près de 70 % des catégories de l’IPC affichent maintenant une inflation supérieure à 3 %.
  • La hausse de l’inflation à l’échelle mondiale se produit au moment où l’économie mondiale, elle, ralentit.
  • L’invasion de l’Ukraine par la Russie, les confinements liés à la COVID-19 en Chine et la persistance des perturbations de la chaîne d’approvisionnement sont tous des facteurs qui pèsent sur l’activité et accroissent l’inflation.
  • La guerre accentue l’incertitude ainsi que les pressions à la hausse qui s’exercent sur le prix de l’énergie et des produits agricoles, ce qui « assombrit les perspectives, surtout en Europe ».
  • Sur le marché du travail américain, l’activité est encore vigoureuse et les pressions salariales s’intensifient, tandis que la demande intérieure du secteur privé demeure robuste, même si l’économie s’est « contractée au premier trimestre de 2022 ».
  • Les conditions financières mondiales se sont resserrées et les marchés ont été volatils.

L’économie canadienne et le marché du logement

  • L’activité économique est forte, et il est clair que nous sommes en « situation de demande excédentaire », un changement par rapport au message de la Banque en avril, qui disait que notre économie entrait dans une « phase de demande excédentaire ».
  • Les données des comptes nationaux pour le premier trimestre de 2022 montrent que le PIB a progressé de 3,1 %, ce qui cadre avec la projection de la Banque dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril.
  • Le nombre de postes vacants est élevé, les entreprises font état de pénuries de main-d’œuvre généralisées, et la croissance des salaires s’est mise à « augmenter et à s’étendre à plus de secteurs ».
  • L’activité sur le marché du logement ralentit par rapport aux niveaux exceptionnellement élevés qu’elle avait atteints.
  • Compte tenu des dépenses de consommation qui demeurent robustes au Canada et des exportations qui devraient se renforcer, on s’attend à une croissance « solide » au deuxième trimestre.


Perspectives

Puisque l’inflation se maintient bien au-dessus de la cible et qu’elle « devrait continuer à monter à court terme », l’annonce d’aujourd’hui a permis à la Banque de prévenir la population, encore une fois, que « les taux d’intérêt vont devoir augmenter davantage ».

Le rythme des futures hausses du taux directeur sera guidé par l’évaluation continue que fait la Banque de l’économie et de l’inflation. 

Au cas où il y aurait un doute, le message de la Banque était clair : s’il le faut, elle est prête à agir avec plus de force pour honorer son engagement d’atteindre une cible d’inflation de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 13 juillet 2022. First National assurera le suivi de cette décision et, comme toujours, vous trouverez d’autres renseignements importants concernant les marchés de capitaux à la page Ressources de ce site Web. 


La Banque du Canada relève son taux d’intérêt de référence à 1,50 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a montré une fois de plus qu’elle se préoccupe sérieusement de l’inflation en portant son taux de référence à un jour à 1,50 %. Cette augmentation de 50 points de base fait suite à une autre augmentation semblable en avril, ce qui en fait le cycle de hausse des taux le plus rapide depuis deux décennies.

La Banque rapproche donc son taux directeur de sa valeur prépandémique. Par conséquent, le taux d’escompte s’établit à 1,75 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1,50 %. La Banque poursuit également sa politique de resserrement quantitatif et indique que de nouvelles hausses de taux sont à prévoir.

Pour justifier sa troisième augmentation de 2022, la Banque a cité plusieurs facteurs, notamment le fait que « le risque que l’inflation élevée s’enracine s’est accru ». En conséquence, la Banque utilisera ses outils de politique monétaire pour ramener l’inflation à la cible et garder les attentes d’inflation bien ancrées.

Voici les points saillants de l’annonce faite aujourd’hui.

L’inflation au pays et à l’étranger 

  • Principalement en raison de la hausse du prix des aliments et de l’énergie, la Banque a constaté que l’inflation mesurée par l’IPC a atteint 6,8 % en avril, ce qui dépasse de loin ses prévisions, et « devrait encore monter à court terme avant de commencer à diminuer ».
  • Alors que les pressions généralisées sur les prix des intrants se répercutent sur les prix à la consommation, l’inflation continue de s’étendre : les mesures de l’inflation fondamentale se situent entre 3,2 % et 5,1 %.
  • Près de 70 % des catégories de l’IPC affichent maintenant une inflation supérieure à 3 %.
  • La hausse de l’inflation à l’échelle mondiale se produit au moment où l’économie mondiale, elle, ralentit.
  • L’invasion de l’Ukraine par la Russie, les confinements liés à la COVID-19 en Chine et la persistance des perturbations de la chaîne d’approvisionnement sont tous des facteurs qui pèsent sur l’activité et accroissent l’inflation.
  • La guerre accentue l’incertitude ainsi que les pressions à la hausse qui s’exercent sur le prix de l’énergie et des produits agricoles, ce qui « assombrit les perspectives, surtout en Europe ».
  • Sur le marché du travail américain, l’activité est encore vigoureuse et les pressions salariales s’intensifient, tandis que la demande intérieure du secteur privé demeure robuste, même si l’économie s’est « contractée au premier trimestre de 2022 ».
  • Les conditions financières mondiales se sont resserrées et les marchés ont été volatils.

L’économie canadienne et le marché du logement

  • L’activité économique est forte, et il est clair que nous sommes en « situation de demande excédentaire », un changement par rapport au message de la Banque en avril, qui disait que notre économie entrait dans une « phase de demande excédentaire ».
  • Les données des comptes nationaux pour le premier trimestre de 2022 montrent que le PIB a progressé de 3,1 %, ce qui cadre avec la projection de la Banque dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril.
  • Le nombre de postes vacants est élevé, les entreprises font état de pénuries de main-d’œuvre généralisées, et la croissance des salaires s’est mise à « augmenter et à s’étendre à plus de secteurs ».
  • L’activité sur le marché du logement ralentit par rapport aux niveaux exceptionnellement élevés qu’elle avait atteints.
  • Compte tenu des dépenses de consommation qui demeurent robustes au Canada et des exportations qui devraient se renforcer, on s’attend à une croissance « solide » au deuxième trimestre.


Perspectives

Puisque l’inflation se maintient bien au-dessus de la cible et qu’elle « devrait continuer à monter à court terme », l’annonce d’aujourd’hui a permis à la Banque de prévenir la population, encore une fois, que « les taux d’intérêt vont devoir augmenter davantage ».

Le rythme des futures hausses du taux directeur sera guidé par l’évaluation continue que fait la Banque de l’économie et de l’inflation. 

Au cas où il y aurait un doute, le message de la Banque était clair : s’il le faut, elle est prête à agir avec plus de force pour honorer son engagement d’atteindre une cible d’inflation de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 13 juillet 2022. First National assurera le suivi de cette décision et, comme toujours, vous trouverez d’autres renseignements importants concernant les marchés de capitaux à la page Ressources de ce site Web. 


La Banque du Canada relève son taux d’intérêt de référence à 1,50 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a montré une fois de plus qu’elle se préoccupe sérieusement de l’inflation en portant son taux de référence à un jour à 1,50 %. Cette augmentation de 50 points de base fait suite à une autre augmentation semblable en avril, ce qui en fait le cycle de hausse des taux le plus rapide depuis deux décennies.

La Banque rapproche donc son taux directeur de sa valeur prépandémique. Par conséquent, le taux d’escompte s’établit à 1,75 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1,50 %. La Banque poursuit également sa politique de resserrement quantitatif et indique que de nouvelles hausses de taux sont à prévoir.

Pour justifier sa troisième augmentation de 2022, la Banque a cité plusieurs facteurs, notamment le fait que « le risque que l’inflation élevée s’enracine s’est accru ». En conséquence, la Banque utilisera ses outils de politique monétaire pour ramener l’inflation à la cible et garder les attentes d’inflation bien ancrées.

Voici les points saillants de l’annonce faite aujourd’hui.

L’inflation au pays et à l’étranger 

  • Principalement en raison de la hausse du prix des aliments et de l’énergie, la Banque a constaté que l’inflation mesurée par l’IPC a atteint 6,8 % en avril, ce qui dépasse de loin ses prévisions, et « devrait encore monter à court terme avant de commencer à diminuer ».
  • Alors que les pressions généralisées sur les prix des intrants se répercutent sur les prix à la consommation, l’inflation continue de s’étendre : les mesures de l’inflation fondamentale se situent entre 3,2 % et 5,1 %.
  • Près de 70 % des catégories de l’IPC affichent maintenant une inflation supérieure à 3 %.
  • La hausse de l’inflation à l’échelle mondiale se produit au moment où l’économie mondiale, elle, ralentit.
  • L’invasion de l’Ukraine par la Russie, les confinements liés à la COVID-19 en Chine et la persistance des perturbations de la chaîne d’approvisionnement sont tous des facteurs qui pèsent sur l’activité et accroissent l’inflation.
  • La guerre accentue l’incertitude ainsi que les pressions à la hausse qui s’exercent sur le prix de l’énergie et des produits agricoles, ce qui « assombrit les perspectives, surtout en Europe ».
  • Sur le marché du travail américain, l’activité est encore vigoureuse et les pressions salariales s’intensifient, tandis que la demande intérieure du secteur privé demeure robuste, même si l’économie s’est « contractée au premier trimestre de 2022 ».
  • Les conditions financières mondiales se sont resserrées et les marchés ont été volatils.

L’économie canadienne et le marché du logement

  • L’activité économique est forte, et il est clair que nous sommes en « situation de demande excédentaire », un changement par rapport au message de la Banque en avril, qui disait que notre économie entrait dans une « phase de demande excédentaire ».
  • Les données des comptes nationaux pour le premier trimestre de 2022 montrent que le PIB a progressé de 3,1 %, ce qui cadre avec la projection de la Banque dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril.
  • Le nombre de postes vacants est élevé, les entreprises font état de pénuries de main-d’œuvre généralisées, et la croissance des salaires s’est mise à « augmenter et à s’étendre à plus de secteurs ».
  • L’activité sur le marché du logement ralentit par rapport aux niveaux exceptionnellement élevés qu’elle avait atteints.
  • Compte tenu des dépenses de consommation qui demeurent robustes au Canada et des exportations qui devraient se renforcer, on s’attend à une croissance « solide » au deuxième trimestre.


Perspectives

Puisque l’inflation se maintient bien au-dessus de la cible et qu’elle « devrait continuer à monter à court terme », l’annonce d’aujourd’hui a permis à la Banque de prévenir la population, encore une fois, que « les taux d’intérêt vont devoir augmenter davantage ».

Le rythme des futures hausses du taux directeur sera guidé par l’évaluation continue que fait la Banque de l’économie et de l’inflation. 

Au cas où il y aurait un doute, le message de la Banque était clair : s’il le faut, elle est prête à agir avec plus de force pour honorer son engagement d’atteindre une cible d’inflation de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 13 juillet 2022. First National assurera le suivi de cette décision et, comme toujours, vous trouverez d’autres renseignements importants concernant les marchés de capitaux à la page Ressources de ce site Web. 


La Banque du Canada relève son taux d’intérêt de référence à 1,50 %

  • First National Financial LP

Aujourd’hui, la Banque du Canada a montré une fois de plus qu’elle se préoccupe sérieusement de l’inflation en portant son taux de référence à un jour à 1,50 %. Cette augmentation de 50 points de base fait suite à une autre augmentation semblable en avril, ce qui en fait le cycle de hausse des taux le plus rapide depuis deux décennies.

La Banque rapproche donc son taux directeur de sa valeur prépandémique. Par conséquent, le taux d’escompte s’établit à 1,75 %, et le taux de rémunération des dépôts, à 1,50 %. La Banque poursuit également sa politique de resserrement quantitatif et indique que de nouvelles hausses de taux sont à prévoir.

Pour justifier sa troisième augmentation de 2022, la Banque a cité plusieurs facteurs, notamment le fait que « le risque que l’inflation élevée s’enracine s’est accru ». En conséquence, la Banque utilisera ses outils de politique monétaire pour ramener l’inflation à la cible et garder les attentes d’inflation bien ancrées.

Voici les points saillants de l’annonce faite aujourd’hui.

L’inflation au pays et à l’étranger 

  • Principalement en raison de la hausse du prix des aliments et de l’énergie, la Banque a constaté que l’inflation mesurée par l’IPC a atteint 6,8 % en avril, ce qui dépasse de loin ses prévisions, et « devrait encore monter à court terme avant de commencer à diminuer ».
  • Alors que les pressions généralisées sur les prix des intrants se répercutent sur les prix à la consommation, l’inflation continue de s’étendre : les mesures de l’inflation fondamentale se situent entre 3,2 % et 5,1 %.
  • Près de 70 % des catégories de l’IPC affichent maintenant une inflation supérieure à 3 %.
  • La hausse de l’inflation à l’échelle mondiale se produit au moment où l’économie mondiale, elle, ralentit.
  • L’invasion de l’Ukraine par la Russie, les confinements liés à la COVID-19 en Chine et la persistance des perturbations de la chaîne d’approvisionnement sont tous des facteurs qui pèsent sur l’activité et accroissent l’inflation.
  • La guerre accentue l’incertitude ainsi que les pressions à la hausse qui s’exercent sur le prix de l’énergie et des produits agricoles, ce qui « assombrit les perspectives, surtout en Europe ».
  • Sur le marché du travail américain, l’activité est encore vigoureuse et les pressions salariales s’intensifient, tandis que la demande intérieure du secteur privé demeure robuste, même si l’économie s’est « contractée au premier trimestre de 2022 ».
  • Les conditions financières mondiales se sont resserrées et les marchés ont été volatils.

L’économie canadienne et le marché du logement

  • L’activité économique est forte, et il est clair que nous sommes en « situation de demande excédentaire », un changement par rapport au message de la Banque en avril, qui disait que notre économie entrait dans une « phase de demande excédentaire ».
  • Les données des comptes nationaux pour le premier trimestre de 2022 montrent que le PIB a progressé de 3,1 %, ce qui cadre avec la projection de la Banque dans le Rapport sur la politique monétaire d’avril.
  • Le nombre de postes vacants est élevé, les entreprises font état de pénuries de main-d’œuvre généralisées, et la croissance des salaires s’est mise à « augmenter et à s’étendre à plus de secteurs ».
  • L’activité sur le marché du logement ralentit par rapport aux niveaux exceptionnellement élevés qu’elle avait atteints.
  • Compte tenu des dépenses de consommation qui demeurent robustes au Canada et des exportations qui devraient se renforcer, on s’attend à une croissance « solide » au deuxième trimestre.


Perspectives

Puisque l’inflation se maintient bien au-dessus de la cible et qu’elle « devrait continuer à monter à court terme », l’annonce d’aujourd’hui a permis à la Banque de prévenir la population, encore une fois, que « les taux d’intérêt vont devoir augmenter davantage ».

Le rythme des futures hausses du taux directeur sera guidé par l’évaluation continue que fait la Banque de l’économie et de l’inflation. 

Au cas où il y aurait un doute, le message de la Banque était clair : s’il le faut, elle est prête à agir avec plus de force pour honorer son engagement d’atteindre une cible d’inflation de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 13 juillet 2022. First National assurera le suivi de cette décision et, comme toujours, vous trouverez d’autres renseignements importants concernant les marchés de capitaux à la page Ressources de ce site Web. 


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