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La Banque du Canada maintient les taux d’intérêt de référence au beau fixe et met fin à l’assouplissement quantitatif

  • First National Financial LP

La Banque du Canada a pris sa septième décision de l’année en matière de taux d’intérêt et, pour la septième fois, a laissé son taux cible de financement à un jour inchangé à 0,25 %. Ce bas taux est à l’ordre du jour depuis mars 2020. Par conséquent, le taux d’escompte demeure à 0,50 %. La Banque a également mis fin à son programme d’assouplissement quantitatif massif – un programme massif qu’elle avait mis en place en mars 2020, soit dans les premiers jours de la pandémie.

La Banque a également formulé de nouveaux commentaires sur l’état de l’économie au pays et à l’étranger. Ses commentaires sont résumés ci-dessous :

Économie mondiale

  • La Banque prévoit que le PIB mondial croîtra de 6,5 % en 2021 – un rythme fort, mais inférieur à la projection du Rapport sur la politique monétaire de juillet –, de 4,25 % en 2022 et d’environ 3,5 % en 2023.
  • La reprise de l’économie mondiale progresse, même si la disponibilité et la distribution des vaccins restent inégales à l’échelle mondiale et les variants présentent des risques pour la santé et l’activité économique.
  • La demande mondiale de biens est forte, mais les perturbations de production et de transport liées à la pandémie limitent la croissance.
  • Le taux d’inflation s’est accru dans de nombreux pays, alimenté par ces goulots d’étranglement du côté de l’offre et les prix plus élevés de l’énergie.
  • Bien que les rendements des obligations aient augmenté au cours des dernières semaines, les conditions financières demeurent accommodantes et continuent de soutenir l’activité.

Logement et rendement économique au Canada

  • L’économie affiche de nouveau une croissance robuste, après une pause au deuxième trimestre.
  • La Banque prévoit maintenant que la croissance de l’économie canadienne atteindra 5 % cette année, avant de se modérer pour s’établir à 4,25 % en 2022 et à 3,75 % en 2023.
  • La demande devrait être appuyée par la vigueur de la consommation et des investissements des entreprises, ainsi que par le rebond des exportations attribuable à la reprise de l’économie américaine qui se poursuit.
  • L’activité sur le marché du logement s’est modérée, mais devrait demeurer élevée.
  • Les pénuries d’intrants manufacturiers, l’engorgement des infrastructures de transport et les problèmes d’appariement des postes et des travailleurs limitent la capacité de production de l’économie.
  • Même si l’incidence et la persistance de ces facteurs d’offre sont difficiles à quantifier, l’écart de production est probablement moindre que la Banque le prévoyait en juillet.
  • Les forts gains au chapitre de l’emploi enregistrés ces derniers mois étaient concentrés dans les secteurs où la distanciation est difficile et parmi les travailleurs les plus touchés par les confinements. Cela a considérablement réduit l’incidence « très inégale » de la pandémie sur les travailleurs.

Inflation au Canada

  • La récente augmentation de l’inflation mesurée par l’IPC avait été anticipée en juillet, mais les principales forces qui font monter les prix – cours plus élevés de l’énergie et goulots d’étranglement liés à la pandémie du côté de l’offre – « semblent à présent plus puissantes et persistantes » que la Banque le prévoyait.
  • La Banque s’attend maintenant à ce que l’inflation mesurée par l’IPC soit élevée jusqu’en 2022 et à ce qu’elle baisse graduellement pour revenir à la fin de 2022 autour de la cible de 2 % fixée par la Banque.
  • La Banque « surveille de près » les attentes d’inflation et les coûts de main-d’œuvre pour s’assurer que les forces temporaires faisant grimper les prix n’ont pas, en fin de compte, une influence durable sur l’inflation.

Perspectives

Le Conseil de direction de la Banque juge que, compte tenu de la marge de capacités excédentaires qui subsiste, l’économie doit continuer de recevoir un appui considérable de la politique monétaire. Cet appui continuera de venir de la Banque, qui reste engagée à maintenir le taux directeur à ce qu’elle définit comme sa « valeur plancher » jusqu’à ce que les capacités excédentaires dans l’économie se résorbent, de sorte que la cible d’inflation de 2 % « soit atteinte de manière durable ». Selon la projection de la Banque, cela se produirait au deuxième ou au troisième trimestre de 2022, ce qui est peut-être un peu plus tôt que les prévisions initiales de la banque centrale.

Par conséquent, et compte tenu de la progression de la reprise économique, le Conseil de direction de la Banque a décidé de « mettre fin à l’assouplissement quantitatif » et de garder son portefeuille global d’obligations du gouvernement du Canada assez stable. Ce n’est pas tout à fait surprenant puisque la Banque a signalé son intention de réduire son activité d’achat d’obligations depuis un certain temps. La fin de l’assouplissement quantitatif est aussi largement conforme à l’approche adoptée par les banquiers centraux aux États-Unis.

La Banque a noté qu’elle continuera à procurer « le niveau de détente monétaire nécessaire pour soutenir la reprise et atteindre la cible d’inflation ».

Un excellent moment pour emprunter

Alors que le taux de référence reste inchangé (jusqu’à nouvel ordre), l’emploi revient à ses niveaux prépandémiques, les frontières canadiennes rouvrent et First National peut vous faire bénéficier de taux et de services concurrentiels, c’est peut-être le meilleur moment pour financer l’achat d’une propriété résidentielle ou commerciale.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 8 décembre 2021. Le prochain résumé de First National sera publié le jour même.

La Banque du Canada maintient les taux d’intérêt de référence au beau fixe et met fin à l’assouplissement quantitatif

  • First National Financial LP

La Banque du Canada a pris sa septième décision de l’année en matière de taux d’intérêt et, pour la septième fois, a laissé son taux cible de financement à un jour inchangé à 0,25 %. Ce bas taux est à l’ordre du jour depuis mars 2020. Par conséquent, le taux d’escompte demeure à 0,50 %. La Banque a également mis fin à son programme d’assouplissement quantitatif massif – un programme massif qu’elle avait mis en place en mars 2020, soit dans les premiers jours de la pandémie.

La Banque a également formulé de nouveaux commentaires sur l’état de l’économie au pays et à l’étranger. Ses commentaires sont résumés ci-dessous :

Économie mondiale

  • La Banque prévoit que le PIB mondial croîtra de 6,5 % en 2021 – un rythme fort, mais inférieur à la projection du Rapport sur la politique monétaire de juillet –, de 4,25 % en 2022 et d’environ 3,5 % en 2023.
  • La reprise de l’économie mondiale progresse, même si la disponibilité et la distribution des vaccins restent inégales à l’échelle mondiale et les variants présentent des risques pour la santé et l’activité économique.
  • La demande mondiale de biens est forte, mais les perturbations de production et de transport liées à la pandémie limitent la croissance.
  • Le taux d’inflation s’est accru dans de nombreux pays, alimenté par ces goulots d’étranglement du côté de l’offre et les prix plus élevés de l’énergie.
  • Bien que les rendements des obligations aient augmenté au cours des dernières semaines, les conditions financières demeurent accommodantes et continuent de soutenir l’activité.

Logement et rendement économique au Canada

  • L’économie affiche de nouveau une croissance robuste, après une pause au deuxième trimestre.
  • La Banque prévoit maintenant que la croissance de l’économie canadienne atteindra 5 % cette année, avant de se modérer pour s’établir à 4,25 % en 2022 et à 3,75 % en 2023.
  • La demande devrait être appuyée par la vigueur de la consommation et des investissements des entreprises, ainsi que par le rebond des exportations attribuable à la reprise de l’économie américaine qui se poursuit.
  • L’activité sur le marché du logement s’est modérée, mais devrait demeurer élevée.
  • Les pénuries d’intrants manufacturiers, l’engorgement des infrastructures de transport et les problèmes d’appariement des postes et des travailleurs limitent la capacité de production de l’économie.
  • Même si l’incidence et la persistance de ces facteurs d’offre sont difficiles à quantifier, l’écart de production est probablement moindre que la Banque le prévoyait en juillet.
  • Les forts gains au chapitre de l’emploi enregistrés ces derniers mois étaient concentrés dans les secteurs où la distanciation est difficile et parmi les travailleurs les plus touchés par les confinements. Cela a considérablement réduit l’incidence « très inégale » de la pandémie sur les travailleurs.

Inflation au Canada

  • La récente augmentation de l’inflation mesurée par l’IPC avait été anticipée en juillet, mais les principales forces qui font monter les prix – cours plus élevés de l’énergie et goulots d’étranglement liés à la pandémie du côté de l’offre – « semblent à présent plus puissantes et persistantes » que la Banque le prévoyait.
  • La Banque s’attend maintenant à ce que l’inflation mesurée par l’IPC soit élevée jusqu’en 2022 et à ce qu’elle baisse graduellement pour revenir à la fin de 2022 autour de la cible de 2 % fixée par la Banque.
  • La Banque « surveille de près » les attentes d’inflation et les coûts de main-d’œuvre pour s’assurer que les forces temporaires faisant grimper les prix n’ont pas, en fin de compte, une influence durable sur l’inflation.

Perspectives

Le Conseil de direction de la Banque juge que, compte tenu de la marge de capacités excédentaires qui subsiste, l’économie doit continuer de recevoir un appui considérable de la politique monétaire. Cet appui continuera de venir de la Banque, qui reste engagée à maintenir le taux directeur à ce qu’elle définit comme sa « valeur plancher » jusqu’à ce que les capacités excédentaires dans l’économie se résorbent, de sorte que la cible d’inflation de 2 % « soit atteinte de manière durable ». Selon la projection de la Banque, cela se produirait au deuxième ou au troisième trimestre de 2022, ce qui est peut-être un peu plus tôt que les prévisions initiales de la banque centrale.

Par conséquent, et compte tenu de la progression de la reprise économique, le Conseil de direction de la Banque a décidé de « mettre fin à l’assouplissement quantitatif » et de garder son portefeuille global d’obligations du gouvernement du Canada assez stable. Ce n’est pas tout à fait surprenant puisque la Banque a signalé son intention de réduire son activité d’achat d’obligations depuis un certain temps. La fin de l’assouplissement quantitatif est aussi largement conforme à l’approche adoptée par les banquiers centraux aux États-Unis.

La Banque a noté qu’elle continuera à procurer « le niveau de détente monétaire nécessaire pour soutenir la reprise et atteindre la cible d’inflation ».

Un excellent moment pour emprunter

Alors que le taux de référence reste inchangé (jusqu’à nouvel ordre), l’emploi revient à ses niveaux prépandémiques, les frontières canadiennes rouvrent et First National peut vous faire bénéficier de taux et de services concurrentiels, c’est peut-être le meilleur moment pour financer l’achat d’une propriété résidentielle ou commerciale.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 8 décembre 2021. Le prochain résumé de First National sera publié le jour même.

La Banque du Canada maintient les taux d’intérêt de référence au beau fixe et met fin à l’assouplissement quantitatif

  • First National Financial LP

La Banque du Canada a pris sa septième décision de l’année en matière de taux d’intérêt et, pour la septième fois, a laissé son taux cible de financement à un jour inchangé à 0,25 %. Ce bas taux est à l’ordre du jour depuis mars 2020. Par conséquent, le taux d’escompte demeure à 0,50 %. La Banque a également mis fin à son programme d’assouplissement quantitatif massif – un programme massif qu’elle avait mis en place en mars 2020, soit dans les premiers jours de la pandémie.

La Banque a également formulé de nouveaux commentaires sur l’état de l’économie au pays et à l’étranger. Ses commentaires sont résumés ci-dessous :

Économie mondiale

  • La Banque prévoit que le PIB mondial croîtra de 6,5 % en 2021 – un rythme fort, mais inférieur à la projection du Rapport sur la politique monétaire de juillet –, de 4,25 % en 2022 et d’environ 3,5 % en 2023.
  • La reprise de l’économie mondiale progresse, même si la disponibilité et la distribution des vaccins restent inégales à l’échelle mondiale et les variants présentent des risques pour la santé et l’activité économique.
  • La demande mondiale de biens est forte, mais les perturbations de production et de transport liées à la pandémie limitent la croissance.
  • Le taux d’inflation s’est accru dans de nombreux pays, alimenté par ces goulots d’étranglement du côté de l’offre et les prix plus élevés de l’énergie.
  • Bien que les rendements des obligations aient augmenté au cours des dernières semaines, les conditions financières demeurent accommodantes et continuent de soutenir l’activité.

Logement et rendement économique au Canada

  • L’économie affiche de nouveau une croissance robuste, après une pause au deuxième trimestre.
  • La Banque prévoit maintenant que la croissance de l’économie canadienne atteindra 5 % cette année, avant de se modérer pour s’établir à 4,25 % en 2022 et à 3,75 % en 2023.
  • La demande devrait être appuyée par la vigueur de la consommation et des investissements des entreprises, ainsi que par le rebond des exportations attribuable à la reprise de l’économie américaine qui se poursuit.
  • L’activité sur le marché du logement s’est modérée, mais devrait demeurer élevée.
  • Les pénuries d’intrants manufacturiers, l’engorgement des infrastructures de transport et les problèmes d’appariement des postes et des travailleurs limitent la capacité de production de l’économie.
  • Même si l’incidence et la persistance de ces facteurs d’offre sont difficiles à quantifier, l’écart de production est probablement moindre que la Banque le prévoyait en juillet.
  • Les forts gains au chapitre de l’emploi enregistrés ces derniers mois étaient concentrés dans les secteurs où la distanciation est difficile et parmi les travailleurs les plus touchés par les confinements. Cela a considérablement réduit l’incidence « très inégale » de la pandémie sur les travailleurs.

Inflation au Canada

  • La récente augmentation de l’inflation mesurée par l’IPC avait été anticipée en juillet, mais les principales forces qui font monter les prix – cours plus élevés de l’énergie et goulots d’étranglement liés à la pandémie du côté de l’offre – « semblent à présent plus puissantes et persistantes » que la Banque le prévoyait.
  • La Banque s’attend maintenant à ce que l’inflation mesurée par l’IPC soit élevée jusqu’en 2022 et à ce qu’elle baisse graduellement pour revenir à la fin de 2022 autour de la cible de 2 % fixée par la Banque.
  • La Banque « surveille de près » les attentes d’inflation et les coûts de main-d’œuvre pour s’assurer que les forces temporaires faisant grimper les prix n’ont pas, en fin de compte, une influence durable sur l’inflation.

Perspectives

Le Conseil de direction de la Banque juge que, compte tenu de la marge de capacités excédentaires qui subsiste, l’économie doit continuer de recevoir un appui considérable de la politique monétaire. Cet appui continuera de venir de la Banque, qui reste engagée à maintenir le taux directeur à ce qu’elle définit comme sa « valeur plancher » jusqu’à ce que les capacités excédentaires dans l’économie se résorbent, de sorte que la cible d’inflation de 2 % « soit atteinte de manière durable ». Selon la projection de la Banque, cela se produirait au deuxième ou au troisième trimestre de 2022, ce qui est peut-être un peu plus tôt que les prévisions initiales de la banque centrale.

Par conséquent, et compte tenu de la progression de la reprise économique, le Conseil de direction de la Banque a décidé de « mettre fin à l’assouplissement quantitatif » et de garder son portefeuille global d’obligations du gouvernement du Canada assez stable. Ce n’est pas tout à fait surprenant puisque la Banque a signalé son intention de réduire son activité d’achat d’obligations depuis un certain temps. La fin de l’assouplissement quantitatif est aussi largement conforme à l’approche adoptée par les banquiers centraux aux États-Unis.

La Banque a noté qu’elle continuera à procurer « le niveau de détente monétaire nécessaire pour soutenir la reprise et atteindre la cible d’inflation ».

Un excellent moment pour emprunter

Alors que le taux de référence reste inchangé (jusqu’à nouvel ordre), l’emploi revient à ses niveaux prépandémiques, les frontières canadiennes rouvrent et First National peut vous faire bénéficier de taux et de services concurrentiels, c’est peut-être le meilleur moment pour financer l’achat d’une propriété résidentielle ou commerciale.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 8 décembre 2021. Le prochain résumé de First National sera publié le jour même.

La Banque du Canada maintient les taux d’intérêt de référence au beau fixe et met fin à l’assouplissement quantitatif

  • First National Financial LP

La Banque du Canada a pris sa septième décision de l’année en matière de taux d’intérêt et, pour la septième fois, a laissé son taux cible de financement à un jour inchangé à 0,25 %. Ce bas taux est à l’ordre du jour depuis mars 2020. Par conséquent, le taux d’escompte demeure à 0,50 %. La Banque a également mis fin à son programme d’assouplissement quantitatif massif – un programme massif qu’elle avait mis en place en mars 2020, soit dans les premiers jours de la pandémie.

La Banque a également formulé de nouveaux commentaires sur l’état de l’économie au pays et à l’étranger. Ses commentaires sont résumés ci-dessous :

Économie mondiale

  • La Banque prévoit que le PIB mondial croîtra de 6,5 % en 2021 – un rythme fort, mais inférieur à la projection du Rapport sur la politique monétaire de juillet –, de 4,25 % en 2022 et d’environ 3,5 % en 2023.
  • La reprise de l’économie mondiale progresse, même si la disponibilité et la distribution des vaccins restent inégales à l’échelle mondiale et les variants présentent des risques pour la santé et l’activité économique.
  • La demande mondiale de biens est forte, mais les perturbations de production et de transport liées à la pandémie limitent la croissance.
  • Le taux d’inflation s’est accru dans de nombreux pays, alimenté par ces goulots d’étranglement du côté de l’offre et les prix plus élevés de l’énergie.
  • Bien que les rendements des obligations aient augmenté au cours des dernières semaines, les conditions financières demeurent accommodantes et continuent de soutenir l’activité.

Logement et rendement économique au Canada

  • L’économie affiche de nouveau une croissance robuste, après une pause au deuxième trimestre.
  • La Banque prévoit maintenant que la croissance de l’économie canadienne atteindra 5 % cette année, avant de se modérer pour s’établir à 4,25 % en 2022 et à 3,75 % en 2023.
  • La demande devrait être appuyée par la vigueur de la consommation et des investissements des entreprises, ainsi que par le rebond des exportations attribuable à la reprise de l’économie américaine qui se poursuit.
  • L’activité sur le marché du logement s’est modérée, mais devrait demeurer élevée.
  • Les pénuries d’intrants manufacturiers, l’engorgement des infrastructures de transport et les problèmes d’appariement des postes et des travailleurs limitent la capacité de production de l’économie.
  • Même si l’incidence et la persistance de ces facteurs d’offre sont difficiles à quantifier, l’écart de production est probablement moindre que la Banque le prévoyait en juillet.
  • Les forts gains au chapitre de l’emploi enregistrés ces derniers mois étaient concentrés dans les secteurs où la distanciation est difficile et parmi les travailleurs les plus touchés par les confinements. Cela a considérablement réduit l’incidence « très inégale » de la pandémie sur les travailleurs.

Inflation au Canada

  • La récente augmentation de l’inflation mesurée par l’IPC avait été anticipée en juillet, mais les principales forces qui font monter les prix – cours plus élevés de l’énergie et goulots d’étranglement liés à la pandémie du côté de l’offre – « semblent à présent plus puissantes et persistantes » que la Banque le prévoyait.
  • La Banque s’attend maintenant à ce que l’inflation mesurée par l’IPC soit élevée jusqu’en 2022 et à ce qu’elle baisse graduellement pour revenir à la fin de 2022 autour de la cible de 2 % fixée par la Banque.
  • La Banque « surveille de près » les attentes d’inflation et les coûts de main-d’œuvre pour s’assurer que les forces temporaires faisant grimper les prix n’ont pas, en fin de compte, une influence durable sur l’inflation.

Perspectives

Le Conseil de direction de la Banque juge que, compte tenu de la marge de capacités excédentaires qui subsiste, l’économie doit continuer de recevoir un appui considérable de la politique monétaire. Cet appui continuera de venir de la Banque, qui reste engagée à maintenir le taux directeur à ce qu’elle définit comme sa « valeur plancher » jusqu’à ce que les capacités excédentaires dans l’économie se résorbent, de sorte que la cible d’inflation de 2 % « soit atteinte de manière durable ». Selon la projection de la Banque, cela se produirait au deuxième ou au troisième trimestre de 2022, ce qui est peut-être un peu plus tôt que les prévisions initiales de la banque centrale.

Par conséquent, et compte tenu de la progression de la reprise économique, le Conseil de direction de la Banque a décidé de « mettre fin à l’assouplissement quantitatif » et de garder son portefeuille global d’obligations du gouvernement du Canada assez stable. Ce n’est pas tout à fait surprenant puisque la Banque a signalé son intention de réduire son activité d’achat d’obligations depuis un certain temps. La fin de l’assouplissement quantitatif est aussi largement conforme à l’approche adoptée par les banquiers centraux aux États-Unis.

La Banque a noté qu’elle continuera à procurer « le niveau de détente monétaire nécessaire pour soutenir la reprise et atteindre la cible d’inflation ».

Un excellent moment pour emprunter

Alors que le taux de référence reste inchangé (jusqu’à nouvel ordre), l’emploi revient à ses niveaux prépandémiques, les frontières canadiennes rouvrent et First National peut vous faire bénéficier de taux et de services concurrentiels, c’est peut-être le meilleur moment pour financer l’achat d’une propriété résidentielle ou commerciale.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 8 décembre 2021. Le prochain résumé de First National sera publié le jour même.

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